Gabriel Fauré 2024
« Éveille-toi, le soleil luit »pourrait-être le titre de ce programme, dans les infinies modulations de la 1ère sonate de Gabriel Fauré, dans l'insouciance des mélodies de Prokofiev et du « Printemps » de Beethoven, dans l'aube blanche qui apparait d'un seul souffle dans l’opus 7 d’Anton Webern.